Le Métavers est un univers virtuel en 3D qui réunit les participants dans tous les aspects de la vie, qu’ils soient au travail, dans les loisirs ou dans les relations sociales. C’est le web 3.0, où la blockchain, la réalité virtuelle et les crypto-monnaies sont combinés. Les crypto-monnaies remplaceront l’argent, les NFT remplaceront les objets et les organisations décentralisées remplaceront les entreprises. Le Métavers permettra à chacun de socialiser, de travailler ensemble virtuellement, et des entreprises seront des organisations décentralisées qui paieront les utilisateurs en crypto-monnaies. Les utilisateurs pourront acheter des NFTs qui peuvent être des habits, des maisons, ou une parcelle de terrain.

Le Métavers n’existe pas encore réellement, mais pour imaginer à quoi cela pourrait ressembler, il suffit de regarder les jeux vidéo. Les crypto-monnaies vont s’intégrer parfaitement aux Métavers, cela permettra d’échanger les jetons du jeu avec de l’argent et des portefeuilles crypto, et de pouvoir faire des transactions directement dans le Métavers sans enlever son casque VR.

Le Métavers va combiner l’économie, l’identité numérique, la gouvernance et plein d’autres applications. Il permettra de travailler avec des avatars qui porteront des vêtements professionnels alors que la personne réelle se trouvera peut-être dans la campagne. Les utilisateurs pourront gagner de l’argent dans le Métavers, par exemple en jouant à un jeu vidéo sur des plateformes comme Game Fair Play it World ou Infiniti.

Des Centrales (Decentraland) est le symbole de l’avenir du Métavers dans les jeux vidéo. Mana est la crypto-monnaie des Centrales, qui permet d’acheter des NFTs qui valent très cher, comme des parcelles de terrain, des habits, ou des manteaux. Les joueurs peuvent créer des choses à l’intérieur du jeu, ce qui attire l’attention des marques, c’est un moyen d’atteindre à des populations beaucoup plus jeunes qui jouent dans des Métavers et d’avoir une image de marque.

Le Métavers intégrera la preuve numérique de propriété, qui permettra de prouver l’authenticité des NFTs et de collecter des objets numériques. Le Métavers permettra également de collecter des données sur les utilisateurs, de les analyser et de les utiliser pour améliorer l’expérience utilisateur, ainsi que pour le marketing et la publicité. Les utilisateurs pourront également gagner de l’argent en exploitant leur propre identité numérique grâce à la crypto-monnaie et à la blockchain.

Source : Coin Station | Date : 2021-11-19 17:25:49 | Durée : 00:11:51

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21 commentaires

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  • Le metaverse un monde d avatars et de batards les Akers les arnaqueur et les pédophiles se frottent déjà les mains et rivalise ront d ingéniosité pour de nouveaux cibertdelits les trolls s en donnerons à coeurs joie

  • Merci pour ta vidéo 👍 perso je pense que pour certaines applications le metavers sera un incontournable, mais le gros des potentialités sera formalisé par à la fois les utilisateurs et les règles des dits metavers : est ce qu'ils sont sûr? les donnés personnelles + wallets à l'abris des hacks? Il suffira d'un seul gros exploit/hack pour casser la confiance des utilisateurs donc le côté sécurité est important.
    Concernant les comportements, on constate que lorsqu'il y a un anonymat des gens peuvent se permettre des comportements exécrables variés. Donc à voir.
    Mais pour un côté professionnel / éducation très cadré j'y vois peu de risques et pas mal d'utilité potentielle.

  • Après pour les Ephad si les personnes âgés trouvent une sorte de jeunesse et d'activité dans un monde méta..ce serait sympa ,imaginons une personne aveugle vivant une experience de vision normal dans le metavers,c'est chouette je trouve 🙂

  • Le Métavers s'annonce génial ! J'ai 14 ans, et c'est si intriguant et passionnant que je compte en faire mon Oral de Brevet 2022 ! C'est pas forcément le meilleur sujet avec toutes ses liaisons artistiques, musicales, historiques etc… mais je pense que c'est notre avenir et qu'il faut transmettre cette nouvelle culture à notre entourage. Superbe vidéo qui m'avance personnellement dans ma quête de savoir ;).

  • Par l’immortalité via l’esprit dans un monde virtuel tu fais sûrement référence à black mirror. C’est intéressant, mais transférer l’esprit (ou l’âme) qu’on a encore jamais pu observer matériellement dans une machine, ça paraît impossible. Tant qu’on aura pas trouvé la preuve d’une âme, ou d’un esprit, matériellement, on ne pourra rien en faire. En revanche, faire rentrer une machine ou une IA dans notre tête, ça, ça sera vite possible. Mais ça rendra pas éternel. Ou bien artificiellement seulement, des sortes de zombies en somme.

  • Je tire sur la plogue : plus de Meta (vers), plus de réalité virtuelle…

    Cette réalité n’est pas virtuelle, justement ! Elle ne peut être pour l’instant ex nihilo. Cette réalité est un autre réel au sens modal ; un possible disait David Kellogg Lewis, philosophe américain. Par exemple, je pourrais être un singe, mais la réalité de l’humain fait en sorte que je ne suis pas un singe. Pour autant, rien ne prouve hors de tout doute que je ne suis pas un singe puisque je peux, dans un possible, revêtir l’avatar d’un singe ; ayant en partage son ADN. Il y a forcément une construction subjective (sémantique) de mon statut d’être humain. Il y a forcément une représentation de la réalité construite à travers mes perceptions. Tout comme un singe ne peut pas être un chat, car nos représentations du singe sont celles que nous possédons ; à moins que ! Question d’imaginaires, dirait Durand; de mondes imaginés. En outre, c’est à travers ceux-ci, l’auteur de la vidéo nous instruit à cet effet, que de possibles dangers du transhumanisme puissent advenir : autre réalité fantasmée.

    Ce faisant, tous ces objets (inter) connectés fonctionnent grâce à un appareillage datant de la révolution industrielle ; l’énergie (fossile) électrique. De l’électricité produite à partir du charbon, de l’eau ou encore d’uranium et d’eau : ne parlons pas du vent, de nos déchets encore peu efficaces au demeurant. Des infrastructures gigantesques elles-mêmes dépendantes pour fonctionner de cette énergie ! Une énorme quantité d’énergie et d’infrastructures physiques, logiciels qui nécessitent une fabrication de mains « hommes ». Une fabrication déployant une « orgie » de technologies, loin, très loin de la dématérialisation de l’économie et du monde en général prophétisée à l’orée de l’an 2000. D’où mon assertion (boutade), je tire sur la plogue et plus rien : retour vers la réalité matérielle du monde : celui de la matière ! Pouf ! Ce monde, cette autre réalité disparait comme par enchantement ! Cette hyperréalité, pour le moment, représente un énorme paradoxe. Énorme, car pour y « vivre », elle nécessite une destruction innommable de nos écosystèmes ; du vivant, de la matière ! La cryptomonnaie est un exemple patent à cet effet.

    De Second Life (métavers sorti en 2003) à Metaverse : oui et puis !

    Il y a 15 ans, lorsque je travaillais sur ma thèse de doctorat portant sur la socialisation au sein des jeux multijoueurs en ligne (MMORPG), il y avait Second Life… Un ballon d’essai qui s’est avéré un demi-échec commercial et, disons-le, social. Ce dernier fut l’occasion pour certains universitaires — essentiellement anglo-saxons — d’élaborer de nombreux scénarii apocalyptiques sur le futur d’une réalité sociale en voie de devenir « virtuelle ». Métaverse, ne fait qu’actualiser les prétentions d’alors : lieu où le matérialisme économique et social pourront fleurir à partir de… rien. Matérialisme au sens marxien, mais pas uniquement. Cette fois-ci pour y arriver, nous troquerons nos manettes, souris pour un autre appendice : le casque ou masque VR. Ainsi, la présentation qu’en fait l’affabulateur de Face de bouc n’est ni plus ni moins qu’un ramassis de lieux communs peu inventifs, permettant le déplacement d’espaces simulés, vers un simulacre de simulation. Les effets augmentés certes, mais peu renouvelés, j’insiste. Un scénario fantasmé de rapports sociaux « dématérialisés », à travers des figures d’avatar simulées par une machine nécessitant, pour fonctionner, un appareillage et une infrastructure datant… d’un autre siècle.

    Ce Metavers, ses futurs avatars corporatistes également, est l’allégorie de la caverne du 21e siècle, et encore, puisque déjà imaginé au 14e siècle ! Une MétaCave en quelque sorte ! Un monde computationnel qui expose la puissance du calcul, des algorithmes au service d’humains enchainés. Ce que Platon nommait le grotesque de la réalité. Ce grotesque incarné dans des pratiques ritualisées bien ancrées dans notre réalité « matérielle ». Grotesque disais-je ! Dans un avenir proche en tout cas, ces Métavers auront besoin pour exister de machines ; de machines pour fabriquer les machines qui les feront exister ; des machines pour produire l’énergie pour faire exister les machines nous y donnant accès. Enfin, ce n’est pas rien, de nos chaines pour les fabriquer.

    Et si je tirais à nouveau sur la plogue !

    En conclusion : vers le monde de Tesla ? Utopie ou distopie ?
    La dystopie à venir ne peut, pour fonctionner, passer outre aux puissants symboles, aux croyances, aux rituels qui animent nos sociétés dites posthumaines. Cette dystopie, si nous nous considérons encore comme des humains, démontrera plus tôt que tard toute l’(in) cohérence de ses pratiques. C’est alors que je pourrai encore m’imaginer que je pourrais être un singe !

  • Mais être immortel, le veut-on vraiment? Peut-etre à un moment donné, mourir sera un luxe avec cette dérive Métaverse/Transhumanisme. On ne pourra plus le faire naturellement. Déjà actuellement pour le suicide assisté, il faut se rendre en Suisse et dépenser 10 000€ ! Vous vous rendez compte, même le suicide se marchande.

    Etre immortel, c'est comme être piégé dans une cage. Je trouve que c'est une chance de naître mais aussi de mourir, c'est un cycle. Je ne vois pas l'intérêt comme être coincé ici. Pour l'éternité.

    Il faudrait d'un point de vue philosophie, introspectif et meme spritiuel, se demander plutot ce qui pousse certains à faire des recherches dans cette direction et nous proposer cela. La peur de la mort ? A ce point ? Pourquoi en ont-ils tellement peur?

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