Le génie artistique de Maurice Lévy dévoilé : Yourart, le réseau social révolutionnaire de l’Art

“BFM Business présente Edwige Chevrillon la grande interview. Bonsoir à tous, bienvenue dans “Je reçois”. Quelqu’un que vous connaissez bien, mais qui se définit quasiment aujourd’hui comme un startupeur. Bonsoir Maurice Levy. Bonsoir, merci d’être avec nous. Président du conseil de surveillance du publicisme, on en dira forcément un mot soit votre Assemblée Générale et le 31 mai, mais surtout est-ce que le marché de la publicité se tient, ce qu’il a retrouvé ses niveaux d’avant crise? Et puis on va parler de VivaTech, VivaTech le 14 juin, ça c’est votre un de vos nombreux bébés, si j’ose dire, c’est vous qui l’avez créé. Lancé et défendu et puis là vous avez lancé c’était le 15 mai dernier Yoart qui se veut un peu le réseau social de l’art, vous êtes un collectionneur tout le monde le sait et là vous avez le YouTube, j’ai vu plusieurs appellations mais en tous les cas c’est une sorte de Super galerie virtuelle où tout le monde, tous les artistes peuvent s’inscrire. Pourquoi vous êtes lancé là-dedans alors qu’il y a déjà beaucoup de l’équivalent du Yoart qui ont débuté maintenant il y a quand même quelques années? Ça a commencé il y a très longtemps puisque j’ai été tombé sur une étude qui montrait qu’il y avait plus de 200 millions d’amateurs d’artistes amateurs, des gens qui de manière régulière pénée faisait quelque chose et qu’il y avait une frustration considérable chez tous ces artistes amateurs qui étaient incapables de montrer leurs œuvres. Donc ça m’avait donné l’idée de créer la plus grande galerie du monde et ça remonte à la fameuse crise de 2008 à 2012, c’est à ce moment là que je suis tombé sur cette étude et puis je n’ai pas eu le temps de le faire tout de suite si j’ai un peu traîné et dès que mes fonctions ont évolué, j’ai commencé à y travailler depuis 2019. J’y travaille avec des reins de mes enfants et puis oui Stéphane, absolument, et une petite équipe autour et on a autour du projet surtout pendant la pandémie et nous avons effectivement constaté qu’il y avait beaucoup de plateformes qui existaient déjà, 62 je crois exactement. Il y a 62 plateformes mais il n’y en a pas une seule qui correspond aux besoins des gens, il correspond à une partie des besoins, il y en a beaucoup qui correspondent à une petite tranche des besoins, il y en a aucune qui regroupe aussi bien les artistes professionnels que les artistes amateurs, les artistes que les galeristes, les collectionneurs que tout simplement ce qu’on appelle les Hart lovers, c’est-à-dire les amoureux de là, et j’ai pensé que ce serait bien de répondre à l’ensemble des besoins, puisque tout de faire quelque chose d’actuel en y mettant de l’intelligence artificielle. Et cette intelligence artificielle, on y a pensé depuis le tout début, on voulait non seulement qu’il y ait les œuvres mais qu’il y ait le moyen de suivre une œuvre, par exemple vous aimez une œuvre que vous voyez sur Yoart et vous trouvez que c’est un truc un peu curieux abstrait, et bien on va vous dire d’où ça vient, quel est le courant, comment cette œuvre se relie à l’histoire de l’art et vous allez ainsi découvrir pas mal de choses autour de l’artiste, à quel courant de penser ou d’art il appartient et puis ensuite comment est-ce que cette âme s’inscrit, on peut aller même plus loin, on peut faire des liens directement par la suite, d’ailleurs on le fera avec Wikipédia, Wikipédia art, qui permettra à ce moment-là de découvrir pas mal de choses. C’est donc quelque chose qui se veut intelligent, qui rend des services, les gens vont pouvoir vendre, vont pouvoir acheter, mais vont pouvoir aussi, Edwige, vous aimez l’art, vous avez été dans pas mal de musées et vous êtes inspiré par Malraux et vous avez envie de votre musée imaginaire et bien sûr il y aura, vous allez pouvoir créer votre propre musique imaginaire, vous allez prendre les œuvres que vous aimez et vous allez pouvoir les mettre sur le musée imaginaire qui vous appartient, et il va y avoir énormément de solutions en plus. Ce que nous avons voulu faire c’est que non seulement les artistes vont pouvoir avoir leur propre galerie que nous avons appelé Metal Gallery et vous allez voir pourquoi, mais nous voulons que demain toutes les dimensions métaverse soit accessible à tout le monde, c’est assis que tout est déjà écrit pour pouvoir être sur le métaverse, nous n’avons pas fait tout de suite pour une autre simple, c’est qu’il y a peu de fréquentation sur le métaverse, parce que pour l’instant l’est-avoir on a eu l’impression que ça allait transformer le monde, finalement pour l’instant ça veut pas dire ça serait resté à l’état embryonnaire, ça c’est sûr que au niveau des utilisateurs on en est très loin et pour une raison très simple, une raison très simple, il faut porter un masque, c’est que même quelque chose de lourd, c’est quelque chose de cher et il faut développer des choses qui sont assez sophistiquées et compliquées, la raison pour laquelle d’ailleurs Tchad Jipiti, l’outil d’intelligence artificielle fonctionne à une vitesse impressionnante. Et que, il y a véritablement, j’ai envie de dire là vous faites un mixte, vous avez mélangé vos deux casquettes de VivaTech et de Yoart, ça veut dire que par exemple, si on prend je sais pas moi Rodin, je regarde une sculpture derrière, Tchad Jibitive aura écrit des tas de choses, absolument d’accord. On est en train de travailler, on a sorti la première version, on est déjà à la version 1.1, demain il va y avoir la possibilité de mettre en majesté des sculptures en trois dimensions et ça c’est très compliqué à faire parce que on n’a pas du tout envie que ça a l’air d’être une photo à plat, on veut qu’il y ait vraiment le relief, qu’il y a absolument tout. Donc tous ceux qui font des œuvres en trois dimensions, si je comprends bien ce que vous dites, c’est la technologie Maurice Lévy qui va qui va qui doit vous différencier des autres galeries virtuelles qui est très complet, ce sont les innovations et c’est la technologie et la technologie fait une différence assez considérable par rapport à ce qui existe mais parmi les innovations il y en a une qui est toute simple nous allons avoir ce qu’on appelle un FT c’est à dire un instrument digitalisé qui est virtuel qui va être attaché à une œuvre et le l’auteur de cette œuvre aura un droit perpétuel exactement comme chaque fois que la chanson nous allons attacher, bien sûr on va vendre des NFT mais on va attacher à toute œuvre physique la possibilité pour l’auteur de cette œuvre de recevoir un droit, une royauté comme on dit dans le jargon juridique, un droit à chaque transaction, c’est-à-dire que je prends un exemple idiot, je suis un pauvre artiste, mon œuvre se vend 1000 euros, je suis déjà très content qu’elle ait pu être vendue, à la suite d’une mouvement de folie se très complètement ridicule vaut demain 300.000 euros, il est vendu en enchères, je vais toucher une, un droit là-dessus, je vais toucher trois pour cent, quatre pour cent, ce qui n’existe pas aujourd’hui et est-ce que vous allez créer des NFT pour les artistes parce qu’il y a des artistes qui ne sont pas capables de créer le DNFC, je veux dire c’est un savoir-faire, lorsque l’on voit les patrons de Sora, on voit bien que ça fait un savoir-faire. Nous n’allons pas nous substituer à l’artiste, mais nous allons leur donner des moyens pour davantage s’exprimer. D’ores et déjà, ce que nous créons est assez spectaculaire et quand vous vous promenez, c’est une différence colossale avec tout ce qui existe, mais nous allons encore l’enrichir, nous allons y mettre aussi du contenu et donc du rédactionnel, où on va mettre en avant et puis pas mal d’autres éléments, comme des réseaux sociaux, vous l’avez évoqué tout à l’heure, la possibilité pour les artistes de travailler entre eux, de discuter entre eux et…”

Source : BFM Crypto | Date : 2023-05-25 22:18:06 | Durée : 00:26:11

➡️ Découvrez TCHATGPT en français !